TAspring sur Gutsy

Je viens de réinstaller ce jeu et, même s'il est encore développement, il n'en est pas moins excellent et vraiment très beau. En ce qui me concerne, le seul point négatif que j'y trouve est une maniabilité pas toujours au point. Mais il y a de nombreuses options et je n'ai pas encore fouillé. Ca doit pouvoir s'arranger.
Le fait est que je vous recommande de le tester si vous aimez les RTS et encore plus si vous aviez aimé, à son époque, Total Annihilation.



Pour vous mettre l'eau à la bouche :



1. INSTALLATION ET CONFIGURATION
Voilà la méthode à suivre :
Pour l'installation proprement dite, vous n'avez qu'à copier ces lignes dans un terminal. Même pas besoin de faire entrée, tout va se faire tout seul.

wget -q http://buildbot.no-ip.org/~yokozar/apt/387EE263.gpg -O- | \
sudo apt-key add -

sudo wget http://buildbot.no-ip.org/~yokozar/apt/sources.list.d/gutsy.list \
-O /etc/apt/sources.list.d/springproject.list

sudo apt-get update && sudo apt-get install spring

Voilà, vous pouvez déjà tester la bête.
Pour la configuration du jeu. Vous pouvez éditez le fichier .springrc qui est dans votre /home. Sinon il existe un utilitaire settings++ qui permet de le faire de manière graphique. Faites attention selon votre config. Le jeu peut vite devenir gourmand!

2. MULTIJOUEUR ET ESCARMOUCHES
Maintenant le mieux (à mon avis) est d'installer un lobby. Un petit logiciel qui permet de gérer les parties multi, de se connecter à différents serveurs (apparement il y a en moyenne une centaine de joueurs connectés simultanément) et de faire des "escarmouches" contre une IA sans trop galérer.
Il en existe plusieurs Je n'en citerais que deux :
- AFlobby dispo en .deb ici
- SpringLobby à compiler. Je vous laisse faire des recherches sur celui-ci.
Un des deux devrait au moins fonctionner chez vous. Sinon, regarder sur la page des ressources dans la section Lobby Clients.

3. DES MODS ET DES MAPS. . .
. . . en veux-tu en voilà.
TAspring dispose d'une grosse communauté qui est toujours sur le pied de guerre. Il existe donc de nombreuses maps et de nombreux mods.
Pour n'en cité qu'un par exemple (le seul que j'ai testé en fait) le mod Star Wars est vraiment sympa. Choisissez l'empire ou la rebellion et c'est partit. C'est mieux que les films ou que les jeux officiels!
Pour les installer, c'est plutôt facile. regardez dans votre /home le répertoire caché .spring.
Dedans doivent se trouver les répertoires suivant : /mods, /maps, /base. S'ils n'y sont pas, créez les.
Ensuite faites vous plaisir, téléchargez ce que vous voulez ici et mettez les fichiers dans les répertoires adéquates.

4. LES DONNÉES NON-LIBRES
Le mod de base de TA est basé sur le jeu Total Annhilation. Les ressources ne sont donc pas libres. Pour les télécharger vous devez avoir le jeu original (1 euro partout si vous cherchez bien!)
Placez-vous dans le répertoire /home/vous/.spring/base et faites ceci :

wget http://ipxserver.dyndns.org/games/spring/mods/xta/base-ota-content.zip

puis

unzip -d ~/.spring/base ./base-ota-content.zip

et enfin

rm ./base-ota-content.zip

Voilà, c'est tout.

Bon jeu à tous.

5. LIENS
Le Site Officlel
Des maps, des mods et tout ce qu'il faut pour bien se tapper sur la figure
Le Wiki Ubuntu-Fr
Encore des maps
Star Wars Total Annhilation

PlayOnLinux version 2

Après quelques bétas, la version finale de PlayOnLinux 2 est sortie ce lundi 29 octobre 2007.
Au programme, un remaniement totale de l'interface graphique qui rend le logiciel très agréable à utiliser.
A savoir qu'il est vivement recommandé de passer à cette version puisque la version 1.8 ne sera plus maintenue d'ici un mois.
Vous pouvez télécharger le .deb ici
Ensuite, il suffit de cliquer dessus pour qu'il s'installe. Votre PlayOnLinux sera alors mis à jour.
Ne manque maintenant plus qu'à faire pleins de nouveaux scripts :)

[impr. ecran] ne marche plus?

Bonjour,
un petit billet technique pour remédier à une petite surprise de Gutsy. Chez certaines personnes, l'Impression écran via la touche [impr. ecran] ne fonctionne plus depuis la mise à jour vers Gutsy.

La solution :
-Allez dans Kcontrol --> Régionalisation et Accessibilité --> Actions d'entrées
-Là, créer une nouvelle action avec ces charactéristiques :

Nom : Printscreen,
Type de l'action : Raccourci clavier -> Commande / URL,
sur l'onglet raccourci clavier, Impr. comme raccourci,
sur l'onglet paramètres de la commande : ksnapshot.

Et voilà, c'est réparé :)

Nouvelle image de O.A.D.

Juste histoire de se mettre encore un peu plus l'eau à la bouche.

Le Site Officiel

Des liens intéressants.

Un petit message pour vous donner deux liens. L'un concernant les jeux sous Gutsy Gibbon et l'autre les logiciels.
Un très bon travail de yeKcim, sur son blog : YekBlog.

Liens :
Liste de Jeux
Liste de Logiciels
Page d'accueil du Blog

PlaneShift 0.3.020

Ca n'arrive pas tout les jours. Le développement de Planeshift est long et lent, et les versions assez espacées. Mais quand il y en a une nouvelle, les nouveautés et les corrections sont nombreuses, pour notre plus grand plaisir.
La 0.3.020 est donc sortit. Pour l'installer, vous pouvez télécharger le client et l'installer à la place de votre ancienne version. L'updater n'est pas encore mis à jour donc, c'est pour le moment le seul moyen de passer à cette version.





Des liens :

Le site officiel
Le changelog
La Page des téléchargements

Ryzom, deuxième manche!

Pour mémoire, Ryzom a été fait par Nevrax, qui, après avoir rencontré des difficultés financièes avait mis le jeu en vente. La communauté libre avait alors tenté de racheté le code sourve mais c'est finalement GameForge qui avait eu le dernier mot.

Mais voilà, A son tour, GameForge est mise en liquidation judiciaire. Le code source est à nouveau mis en vente. La somme demandée par le juge serait de 200.000 euros. La communauté libre se mobilise une fois de plus pour essayer de récupérer le jeu et d'atteindre une promesse de don de 200.000 euros.

Nous en sommes actuellement à 191341 euros. L'aide de tous est évidement la bienvenue. Donnez ce que vous pouvez, tout est bon à prendre.
Imaginez ce que pourrait devenir un jeu comme Ryzom s'il tombait dans le monde libre. Tout ce qu'il serait possible de faire avec un tel code source.

Les liens :
Le site de Ryzom
Le site du Projet Ryzom libre
et pour les donation

Migrer de Feisty Fawn 7.04 à Gutsy Gibbon 7.10

Je suis passé sous Gutsy lorsqu'il était en version béta. Cela fait à peu près une semaine et pas de problèmes à signaler. J'ai juste eu un bloquage lors de l'upgrade qui s'est débloqué facilement.

A ce jour, Gutsy est en version Release Candidate. La version finale est prévu pour le 18 Octobre 2007. Avant cette date, si vous n'êtes pas sûr de vous, évitez la migration.


Pour ceux qui ont Ubuntu je vous renvoie sur ce lien : https://help.ubuntu.com/community/GutsyUpgrades

Pour Kubuntu, voici la traduction :

Tout d'abord, la migration en image.

1. Ouvrez Adept.
2. Allez dans "Manage Repositories". En français "Gérer les dépôts".
Et cochez dans l'onglet "Updates", "Mise à jour recommandées" et "Mise à jour en Pré-version".
3. Rechargez la liste des paquets : "Rechargez" ou "Fetch updates"
4. Puis "Tout mettre à jour" ou "Full Upgrade"
5. Appuyez sur "Appliquer les changements" ou "Apply Changes" et attendez que les mise à jour se téléchargent et s'installent.
6. Une fois fait, fermez Adept et faites ALT+F2 pour rentrer une commande (ne lancez pas la commande depuis un terminal, apparement ça bug :) ) et entrez la commande suivante :
kdesu "adept_manager --version-upgrade"
7. Puis cliquez sur "Version Update" et suivez les instructions à l'écran.

Une fois que tout est fini rebootez : vous voilà sous Gutsy.
Attention, si vous avez le moindre problème ne rebootez pas. Allez par exemple sur le forum Ubuntu-fr et posez votre question dans la section Gutsy. Un reboot alors que la Mise à jour s'est mal passé peut endommager votre système.

Le problème que j'ai eu :

En ce qui me concerne, lors de l'étape 7 (donc lors de la migration) la mise à jour a bloqué à 2% . Je ne sais pas pourquoi.

Pour m'en sortir, j'ai fermé le gestionnaire de migration et suis passé dans un terminal pour faire :
sudo apt-get update
Apt-get m'a alors dit que des paquets n'étaient pas configuré et m'a donné la commande à effectuer :
sudo dpkg --configure -a

Lors du apt-get update suivant, encore une erreur mais la solution était aussi donnée :
sudo apt-get install -f

Ensuite :
sudo apt-get update && sudo apt-get dist-upgrade

a terminé ma migration dans la douceur :) .

Note : Pour ceux qui ont les drivers NVIDIA (et ATI aussi je suppose) propriétaires, comme d'habitude, le changement de noyau provoque le plantage du serveur graphique après le reboot.
La solution est de désactiver ce driver avant la migration.
Sinon, après le premier reboot vous serez en mode console. Sachez où est votre fichier NVIDIA-Linux-x86-100.14.19-pkg1.run (ou votre version des drivers NVIDIA), allez dans le dossier où ils sont et faites :
sudo /etc/init.d/kdm stop
puis
sudo sh NVIDIA-Linux-x86-100.14.19-pkg1.run --uninstall
puis
sudo sh NVIDIA-Linux-x86-100.14.19-pkg1.run

Les drivers sont installés. Relancez le serveur graphique :
sudo /etc/init.d/kdm start

Et voilà :)

The Battle for Wesnoth 1.2.7

Quelques changements mineurs pour cette version hormis un bug qui faisait cracher les parties multi.

Téléchargement

Le changelog :

Version 1.2.7:
* language and i18n:
* updated translations: Czech, Danish, Dutch, French, German, Italian,
Japanese, Polish, Portuguese (Brazil), Serbian, Slovak, Spanish, Swedish
* new translation: Serbian (Latin version)
* updated DejaVu font to 2.20
* added sazanami-gothic font (needed for the Japanese translation)
* multiplayer maps:
* revised maps: Blitz, Cynsaun Battlefield, Hamlets, Meteor Lake
* fixed a crash if the client recieves invalid utf-8
* fixed a server side bug with could cause invalid utf-8 being send to a
client.
* misc:
* really fix the trait OOS so it works correctly on Windows as well
* map label length is correctly determined for multibyte
characters (bug #6855)

La version en développement 1.3.9 est téléchargeable et comporte elle de nombreuses nouveautés. Mais ça reste une version de développement.

Ca avance !

Bon, j'ai pas mal bossé aujourd'hui. Mes piètres connaissances en html me ralentissent mais c'est comme ça qu'on apprend après tout.

Les liens sont en places et les articles du coin technique aussi. Je me tâte encore à savoir si je remet toutes les news. Un simple lien vers l'ancien blog devrait suffire je pense. Vu comme l'actualité va vite.
Et sinon il me reste à pofiner la présentation du blog.

Quant à pourquoi j'ai changé? Bloglibre c'était bien mais trop souvent down et on ne peux pas bidouiller comme on veut le code. C'est tout :)

A bientôt pour des news toutes fraîches.

Connaître tous les paquets installés.

Vous voulez faire une réinstallation complète de votre système, votre /home est sur une partition à part, mais vous avait peur de ne pas retrouver tous les logiciels que vous aviez installé?

Ca parait un peu con comme ça, puisque théoriquement, les logiciels qu'on utilise vraiment, on ne les oublie pas. Mais bon, sait-on jamais. Peut-être est-ce juste une curiosité.

Essayez donc cette commande :

dpkg -l > paquets.txt

Vous voilà avec un fichier texte détaillant tous les paquets installés sur votre système avec en prime une petite description.

Pour ceux qui veulent vraiment faire une réinstallation complète de tous ces paquets voici la marche à suivre :

Pour sauvegarder la liste des paquets installés :

dpkg --get-selections > save_liste_paquets

Pour réinstaller cette liste :

sudo dpkg --set-selections < save_liste_paquets

C'est aussi simple que ça. A noter quand même que du coups, vous réinstallez TOUT. Doc votre système tout beau tout propre se retrouve aussi chargé que le précédent de trucs et de machins inutiles (du moins si comme moi vous tester pleins de trucs).

Mais ça peut être utile quand même.

Ragnarok et les serveurs privés.

Si vous installez Ragnarok et désirez jouer sur un serveur privé, il y a de fortes chances pour que la connexion ne se fasse pas.

Voilà la solution.

(Une parenthèse pour dire que Ragnarok, chez moi, ne fonctionne qu'avec la version 0.9.44 de Wine. Passez donc par PlayOnLinux pour lui assigner cette version et continuer à avoir sous la main, la dernière version de Wine)

Tout d'abord pour installer la version officielle de Ragnarok, vous pouvez passer par PlayOnLinux. Si vous n'avez pas encore télécharger le client, pas de panique, PoL le fera pour vous et installera le jeu dans la foulée.

Je vous conseil quand même de télécharger vous-même le client et de l'installer via LiveInstall de PoL. Le téléchargement, chez moi en tous cas, a été très long en passant par PoL.

Pour un client privé, même manipulation, téléchagez le client complet du serveur sur lequel vous voulez jouer et installer le via LiveInstall de PoL.

Une fois fait et une fois inscrit sur le serveur essayez de vous connecter en lançant le jeu. Si vous parvenez à vous connecter, tout va bien, sinon une petite manipulation s'impose.

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-Installez le paquet ethereal. Ce qui nous intéresse dans ce paquet est le logiciel Wireshark. Il permet de voir où se connecte tel ou tel programme. Car le probolème, c'est que Wine tente de se connecter à une mauvaise IP.

-Une fois le paquet installé, lancé Wireshark. Puis, deuxième icône : "Show the capture options . . . "

-Sélectionnez votre connexion (interface) principale, cochez "Update list of packets in real time" et appuyez sur Start.

-Lancez le jeu et essayez de vous connecter et quand vous avez le message "Echec de la connexion" refermez le jeu.

-Maintenant, Wireshark doit vous donnez toutes les infos nécessaires. Chercher une IP (dans la colonne destination) et notez là. En général elle est du genre 116.0.0.0 ou 50.0.0.0. C'est sur cette adresse que Wine essaie de se connecter. Et c'est là qu'il a tout faux.

-Pour corriger ça, entrer la commande suivante dans un terminal :
sudo iptables -t nat -A OUTPUT -d MauvaiseAdresse -j DNAT --to AdresseDuServeur

Et voilà, vous pouvez jouer.

A noter que la commande est à refaire à chaque fois que vous aurez rebooter votre PC.

Les Commandes de bases

Parce-qu'on s'est tous retrouvé au moins une fois sans interface graphique (ou parce-que ça va vous arriver :p )voilà un petit sommaire des commandes de bases qui sauvent la vie. . . encore une fois, je ne suis pas un pro, il en existe surement des plus efficaces mais celles-ci m'ont sortit de nombreuses situations.

Si vous voulez les expérimenter, passez donc en mode console. Le jour où ça vous arrivera vous ne serez pas dépaysé.

Pour se faire, déconnectez-vous de votre session, puis à l'écran de loggin faites ALT+CTRL+F1.

Et voilà, vous êtes en mode console. Entrez votre pseudo et votre mot de passe.

Tout d'abord, un truc utile : w3m

C'est un navigatuer internet en ligne de commande. Essayez par exemple :

w3m http://www.ubuntu-fr.org/

Vous voilà sur le site Ubuntu avec la possibilité de faire une recherche pour votre problème. Ca peut toujours dépanner.

Quelques commandes :

cd nomdudossier (pour se rendre dans un dossier du répertoire courrant)

cd /chemin/vers/le/dossier (pour se rendre directement dans un dossier)

ls (lister les fichiers/dossiers présents dans le répertoire actuel)

cd .. (remonter d'un répertoire)

sh nomdufichier.run (exécuter un fichier .run, les drivers nvidia par exemple)

mkdir nomdedossier (créer un dossier dans le répertoire courant)

nano nomdufichier (équivalent de kate ou gedit, permet d'éditer les fichiers dans une console ou un terminal. Exemple : sudo nano /etc/X11/xorg.conf)

cp fichiersource fichierdedesitnation (pour copier un fichier en le renommant. Permet entre autre de faire des sauvegarde des fichiers important. Exemple : sudo cp /etc/X11/xorg.conf /etc/X11/xorg.conf.backup)

man nomdelacommande (donne une liste des options et de l'utilisation possible d'une commande. Exemple : man iwconfig )

tar xvf nomdufichier.tar (décompresser un fichier tar)

startx (démarre le serveur graphique)

sudo dpkg-reconfigure xserver-xorg (celle-là elle sauve la vie. Si votre serveur X est à genou et qu'il vous est impossible de retrouver une interface graphique tapper là. Vous reconfigurerez tout et dans les drivers graphiques repartez sur les driver de base nv ou vesa . . . ensuite un startx devrait vous rendre votre interface graphique pour corriger les probèmes)

sudo dpkg -i /chemin/vers/un/fichier.deb (installer un fichier .deb)

Pour la connexion internet :

iwconfig (renseignements sur les connexions disponibles)

sudo iwconfig nomdeconnexion essid WANADOO-XXXX key XXXXXXXXXXXXXXXXXXXX mode managed (force la configuration de la connexion internet désignée. Edite le fichier /etc/network/interfaces)

Voilà, c'est tout ce que j'ai dans mon petit carnet. Ce n'est pas grand chose, mais ça peut aider. Je pense que j'éditerais ce post pour en rajouter et classer un peu le tout par catégories.

edit : sur Debian, au lieu de faire sudo à chaque fois, il suffit de rentrer su puis le mot de passe pour être une fois pour toute (du moins jusqu'à la fermeture du terminal) reconnu comme superutilisateur.

Ndiswrapper

Pour ceux qui ne le savent pas, ndiswrapper permet de faire fonctionner les dongles wifi sous Linux en utilisant les drivers windows. Utilie quand votre dongle wifi ne dispose d'aucun driver libre.

Installer ndiswrapper sous Kubuntu parait un peu déroutant au début. Quand on l'a fait une ou deux fois, ça devient presque un réflexe.

La première chose à faire est de savoir quel est votre dongle wifi et de savoir s'il marche avec ndiswrapper :

Une liste des cartes/dongle wifi sous Ubuntu

Liste des cartes fonctionnant avec ndiswrapper

Dans un premier temps il faut se procurer les drivers windows. Si vous avez une installation windows sur votre disque dur ça ne devrait pas poser de problème. Sinon chercher sur le CD d'installation de votre carte. Il existe des logiciels pour extraire les fichiers d'un setup.exe (par exemple). Ce logiciel s'appelel cabextract.

Pour info il faut récupérer les fichier .inf et .sys du driver de votre carte. En ce qui me concerne j'avais un dongle inventel URO54g. Les fichiers était prisma02.inf et prisma02.sys.

Ensuite il faut télécharger ndiswrapper. Il existe des versions dans les dépots à télécharger via adept (ndiswrapper-1.8 pour Edgy et ndiswrapper-1.9 pour Feisty)? Le problème étant que bien souvent on n'a pas internet, mieux vaut récupérer la dernière version (en général c'est celle qui fonctionnera le mieux) ici.

Mettez tout ça dans un dossier de votre /home par exemple (ndiswrapper et les fichier .inf et .sys).

Décompressez ndiswrapper. Ensuite c'est parti pour l'installation :

Se mettre dans le dossier ndiswrapper et tapper :

-make

-sudo make install

Ndiswrapper devrait s'installer sans problème. Une fois fait, allez dans le dossier où vous avez vos fichier .inf et .sys puis :

-sudo ndiswrapper -i nondufichier.inf (on installe le driver)

-ndiswrapper -l (pour vérifier que tout est bien installé. Ca devrait vous renvoyer une ligne du genre : driver installed hardware present. Si ce n'est pas le cas, votre driver n'est probablement pas bon.)

-sudo ndiswrapper -m (notez l'alias qui va être créé. En général wlan0)

-sudo modprobe ndiswrapper (on charge le module ndiswrapper. Votre dongle devrait clignoter)

Arrivé là, votre dongle est reconnu (s'il s'est bien allumé) et la commande iwconfig devrait vous renvoyer un paragraphe sur une connexion wlan0 (selon l'alias que ça vous a renvoyé tout à l'heure).

Pour que votre dongle sot reconnu à chaque démarrage, il faut que le modules soit automatiquement chargé. Pour celà, éditer le fichier /etc/modules et rajouter la ligne ndiswrapper.

Sous Dapper et Edgy il faut "blaklister" un module génant. Editez le fichier /etc/modprobe.d/blacklist

et rajoutez la ligne suivante : blacklist islsm_usb

Maintenant il suffit de configurer sa connexion.

edit : Il semblerait que la méthode d'installation ne fonctionne plus sous Feisty. Il faut utiliser les paquet présent dans les dépôts. Feisty ne semble pas vouloir compiler ndiswrapper. Ca renvoie une erreur que mes connaissances ne permettent pas de contourner. . . mes excuses.

Bonsoir

Bonsoir, Kubuntu Bazaar va migrer sur Blogger. Ca va prendre un peu de temps mais ça va se faire.
A bientôt.